URBEX en février ensoleillé

Un soleil rasant, des endroits vidés de leur substance … il reste des ruines, témoins d’un passé industriel autrefois florissant. Et on se demande pourquoi donc ces lieux ne sont pas réutilisés !
Quel gaspillage d’espace, de matériaux, d’argent – pour la plupart public – c’est triste un pays qui compte plus de friches industrielles que d’industries et qui fustigent ceux qui ont perdu leurs emplois par milliers, créant un “état social actif”, qui les rends responsables de leur situation.. inadmisible.
A qui la faute pourtant ?
Oui, l’URBEX est aussi revendicatif chez moi.
Bongiorno Jean-Pascal, très belle série, on ose imaginer le bonheur, et aussi les souffrances de tous ces hommes qui ont occupé ces lieux remplis d’histoire, les milliers de personnes qui ont emprunté ces escaliers ,si graphiquement et superbement représentés par ta photographie, comme excuses ils diront que les sols sont pollués, car en son temps tout était balancé dans les égouts, dans des puits etc,,, des vestiges qui sont encore là debout, pour témoigner de ce qu’était la Wallonie, le monde d’avant ! Je t’invite à écouter la superbe chanson de Bernard Laviliers ,,,, Les mains d’or ,,,,,, une chanson qui pourrait coller à tes belles images. Bonjour à vous deux de nous deux
Salve Salva, merci … figures toi que j’ai pensé à Laviller et à Bachelet (les Corons), Zola (ok, c’est plus vieux). Oui, la fierté d’accomplir un travail qui avait un sens, fait de camaraderie, d’esprit de corps quand un coup de grisou, un éboulement mettait les nerfs à rude épreuve, quand éclatait la souffrance. Mais, surtout, l’indignation, la honte de se retrouver, jeté, lorsque les entreprises décident au nom d’un profit toujours plus vertigineux d’aller exploiter d’autres corps, d’autres esprits dans des pays où la défense des droits humains n’existent pas. Quand je vois la taille de ces ruines (surtout la seconde visite), je ne comprends pas pourquoi on ne ré exploite pas l’endroit, sous d’autres formes, avec d’autres métiers … les politiques, nos politiques n’ont aucune vision d’avenir. Triste état des lieux !
Mais revenons à des choses plus agréables. Je suis content d’avoir de vos nouvelles et j’espère que tout va toujours bien à la maison. Vivement que l’on puisse de nouveau se voir. Le amicizie hanno bisogno di buon vino da condividere e di sole, soprattutto dal cuore.