Le Nikkormat FTn

Un (petit) matin ensoleillé à Rixensart (Belgique) et une belle brocante.

Et là, sur un stand, deux Nikkormat noirs, bien patinés comme je les aime. Sauf qu’il n’y en a qu’un qui fonctionne, le second est bloqué.

J’échange quelques mots avec le vendeur, un passionné passionnant, qui aime les vieux appareils et, en gros, tout ce qui touche à l’image, fixe ou animée.

Petite digression à son sujet, d’ailleurs, car Pascal Becker (notre sympathique vendeur) a décidé d’ouvrir … un petit musée privé consacré à la télévision, le son, l’informatique, la photo et le cinéma !

Moi j’aime bien ce genre d’initiative et donc, je partage.

“Le Matos Museum” ou “musée des médias et des technologies obsolètes” se situe à Bierges (1301), rue Provinciale 171. L’entrée est gratuite et les visites se font sur rendez-vous soit par téléphone, soit via le mail. Si vous voulez un avant goût du musée, l’adresse du site est ICI.

Quand j’écrivais qu’on rencontrait des gens formidables sur les brocantes …

Pourquoi ai-je craqué pour ces 2 appareils ?

Eh bien parce que je trouvais que le site était un peu pauvre en matériel Nikon, que l’on ne peut négliger dans l’histoire de la photographie. Et tant qu’à en parler, autant le faire avec les plus dignes représentants (quand mon portefeuille est d’accord aussi, soyons raisonnable !).

Mais revenons à l’appareil qui nous préoccupe, le Nikkormat FTn.

Impossible de l’évoquer sans écrire sur celui par qui tout a commencé, le Nikon F, présenté en 1959. Ce reflex a longtemps été LA référence, de part la qualité de sa fabrication, sa simplicité d’utilisation, sa conception d’ensemble, pensée pour affronter les pires conditions d’utilisation. Essentiellement destiné aux photographes professionnels, il avait un coût, celui de la qualité.

Et pourtant, la genèse du Nikkormat (ou Nikomat au Japon) est le Nikkorex.

Un appareil étonnant que celui-là : un reflex à objectif fixe et obturateur dans l’objectif, comme le Mamiya 528 TL p. ex. Nous sommes alors en 1960.

Peu coûteux, ils ont été conçus pour montrer aux amateurs les avantages du format reflex, relativement nouveau et qui débarquait dans un monde photographique alors occupé par les foldings (pliants) comme ceux de chez Zeiss Ikon, les TLR (bis-objectifs) comme chez Rolleiflex, les télémétriques nippons et allemands.

Mais Nikkon n’a pas percé avec cet appareil, finalement encombrant, peu versatile : objectif fixe, auquel on a adjoint ensuite des compléments tels des lentilles grand angle, des télé, etc. Ils ont même tenté de modifier la gamme pour y placer – enfin – des objectifs interchangeables avec la monture F, le Nikkorex F. Ce fut un échec commercial.

Tiens, et pour la petite histoire, cet appareil ne fut pas fabriqué par Nikkon mais par … Mamiya , qui a vendu le design à Ricoh en 1966 (date de l’abandon du Nikkorex au profit du Nikkormat), Ricoh qui produira les Ricoh Singlex et Sears SL11 associés !

Source : Wikipedia

Pourtant cette expérience a fourni de précieuses informations à Nikon pour la fabrication d’un reflex à objectifs interchangeables peu coûteux. Et il gagnait un obturateur en métal à déplacement vertical fabriqué par Copal, le Copal Square. Un obturateur solide, fiable, qui proposait une synchro flash rapide, le 1/125s.

Un nouveau cahier des charges prévoit que le futur reflex devra être une alternative de qualité au Nikon F : moins chère, plus dépouillée, avec un posemètre interne et couplé, une monture F et ce très bon obturateur Copal Square.

Le Nikkormat était lancé.

Commercialement, c’est un appareil milieu de gamme afin de séduire le plus grand nombre de consommateurs, ceux qui ne pouvaient se payer le Nikkon F mais suffisamment éclairés que pour gérer un appareil de qualité.

La bataille sera rude, ces consommateurs-là ayant déjà le Pentax Spotmatic, les Canon FT à leur disposition. Nikon devait se montrer à la hauteur et/ou faire mieux.

Ils feront mieux.. Pour casser l’image éculée de l’appareil grand public fragile et mal fichu, Nikon crée une filiale, la Miton Nikon, pour superviser le développement et la production du Nikkormat.

Pour la petite histoire, Miton Nikon, outre qu’elle réussira son pari, fabriquera pendant près de 50 ans quelques uns des meilleurs appareils argentiques de Nikon. Notamment les F3, F4, FM3a, le S2 Millennium Limited Edition et SP 2005 Limited Edition.

C’est en 1965 qu’est lancée une des plus grande campagne de promotion pour ce nouvel appareil, le Nikkormat : des foires sont organisées à travers le Japon, des films sont diffusés dans les cinémas, la télévision nationale diffusent des publicités, même les trains sont utilisés comme supports publicitaires : Nikon lance un reflex pour les photographes amateurs exigeants !

Quelques exemples de publicités de l’époque (sorry, impossible de retrouver mes sources)

Toute cette énergie pour le présenter, lui :

Les premiers FT et FS offrent la même qualité de construction à toute épreuve, le même design anguleux qui ont rendu le Nikon F si célèbre.

Nikon veut gagner son projet et ils y mettent le paquet : les Nikkormat proposent la monture F, l’obturateur Copal Square (qui propose maintenant des vitesses de 1s à 1/1000s), un bouton pour la prévisualisation de la profondeur de champ, un curseur pour verrouiller le miroir, un posemètre interne couplé visible dans le viseur avec une fenêtre de rappel sur le capot.

Il faut, je pense, reconnaître que si Nikon a toujours su communiquer avec les professionnels à qui il proposait des outils bâtis sur mesure, avec le grand public, ce n’était pas aussi évident et même parfois franchement maladroit.

Le Nikkormat devait lever cette ambiguïté : moins cher que le Nikon F destiné aux pro de l’image, il offrait la même qualité de fabrication, quasi les mêmes spécifications et, surtout, offrait un point d’entrée au système des objectifs F.

Les amateurs allaient pouvoir utiliser les mêmes objectifs que les pro comme Tim Page, David Douglas Duncan, Gordon Park, Larry Burrows, Don Mc Cullin (qui eut la vie sauve grâce à son Nikon F qui encaissa la balle de AK-47 qui lui était destinée), ….

Le succès fut au rendez-vous, non seulement au Japon mais aussi dans le reste du monde. Et il n’y eut pas que les amateurs qui crurent en cet appareil, des photojournalistes, des photographes de studio se sont ajoutés aux photographes de tous les jours.

La simplicité et la fiabilité à toute épreuve, la compatibilité totale avec les objectifs du Nikon F en ont souvent fait un appareil de secours, monté d’une autre optique, en cas de besoin, par les pros eux-mêmes.

La guerre du Vietnam fut leur consécration, à côté du Nikon F, ou seul sur le terrain des opérations.

Quelques réalisateurs les ont mis au menu pour rappeler ces épisodes mouvementés: Stanley Kubrick dans “Full Metal Jacket” .

Ou Dennis Hopper, photojournaliste dans “Apocalypse Now”. Dennis Hopper qui fut d’ailleurs un photographe reconnu, d’autre part.

Lorsque Eric Reguly revisite les lieux qu’a parcouru son père, Robert Reguly, correspondant de guerre au Vietnam, il cite : ” Trois objets précieux dans mon bureau à domicile à Rome exigent mon attention alors que mes sacs se remplissent – oui ou non. La première est la machine à écrire portable Olympia de fabrication allemande que papa – connu sous le nom de Bob par sa famille et ses amis – traînait au Vietnam. Il a quelques bosses, mais fonctionne parfaitement. Le second est un appareil photo Nikkormat lourd en briques, noir, l’un des deux qu’il a utilisé comme correspondant étranger aux États-Unis, en Indochine, au Moyen-Orient et en Afrique. Lui aussi fonctionne parfaitement. Le troisième est le sac à dos de l’armée américaine, avec des bouteilles d’eau en plastique vertes isolées, qu’il a achetées au marché noir le lendemain de son arrivée à Saigon en mai 1967 et emportées à la guerre“, in “Ghosts of war : My journalist father’s Vietnam odyssey, revisited”, The Globe and mail, 31/03/2018.

Le Nikkormat sera produit de 1965 à 1978. Il connaîtra quelques évolutions, bien évidemment.

Les deux premiers, le FT et le FS sont des reflex tout en métal, entièrement mécanique (avec plein de ressorts, d’engrenages, de leviers métalliques à l’intérieur – il accuse 760gr nu sur la balance), disponibles en deux couleurs, noir et chrome ou tout noir. Le FT possède un posemètre intégré et couplé, pas le FS. Ils seront fabriqués de 1965 à 67.

A partir de 1967, apparait le Nikkormat FTn qui simplifie la synchronisation des ouvertures avec le “Nikon Shuffle”, un adroit montage pour synchroniser l’ouverture de l’objectif avec la cellule.

Sous la plaque nominative vous voyez apparaître une partie du mécanisme, qui sera actionné par la butée fixée au pourtour du fut de l’objectif.

Il modifie aussi la mesure de lumière, autrefois moyenne sur toute la surface, elle devient centrale pondérée avec une répartition 60/40, mesure qui sera la norme sur tous les reflex Nikon ensuite.

Une légère variante, le FTns a glissé un bout de plastique sur le levier d’armement et le levier du retardateur (comme sur le F2) et la possibilité de choisir entre un microprisme ou des écrans de mise au point télémétrique.

Le Nikkormat FTn sera le best-seller de la gamme. Il sera produit jusqu’en 1975, donnant enfin à Nikon une place stable sur le marché “grand public”.

Dès 1976, son successeur, le Nikkormat FT2, apporte quelques améliorations, comme le sabot pour le flash fixe, le stignomètre à coïncidence, un réglage des Asa plus simple et l’adoption d’une pile non plus au mercure mais alcaline de 1,5v. Rien de révolutionnaire mais de quoi rester dans la course.

Dans les années septante, le rythme des innovations était pour le moins soutenu et les constructeurs nippons ne se faisaient pas de cadeau.

La taille des reflex, leur poids allaient rapidement évoluer. Dès lors, le Nikkormat FT3 (1977) sera le dernier représentant tout mécanique de cet “ancien monde”, d’autant qu’il n’apportait qu’une simplification le rendant compatible avec les objectifs Nikkor AI.

Nikon ayant senti le vent tourner préparait la succession de ces appareils tout mécanique et a commencé, dès le début des années septante, une gamme à commande électromécanique Le premier sera le Nikkormat EL (1972), le tout premier appareil photo à commande électronique de chez Nikon.

Si l’appareil était toujours grand et lourd, construit pour durer, il était cependant doté d’un mode priorité à l’ouverture. Il inaugure aussi le système à aiguilles (cellule) qui sera utilisé par Nikon sur la série des FE.

La série de Nikkormat EL aura aussi droit à quelques évolutions, comme le ELW ou le EL2, ce dernier recevant la même mise à jour que le FT3 pour accepter les objectifs AI. Il gagne aussi un posemètre avec une photodiode à base de silicium, plus rapide.

Mais surtout, le EL2 s’appellera dorénavant Nikon EL2. Les Nikkormat deviennent “officiellement” des Nikon à part entière !

Le nom disparaîtra complètement pour accueillir les boitiers Nikon FM, destinés eux aussi aux “amateurs” (1977).

Ces nouveaux boitiers rompent avec la ligne habituelle des Nikon : ils sont petits, élégants et légers, conçus pour rivaliser avec l’Olympus OM-1, le Pentax ME et le Canon AE-1.

Cette nouvelle gamme, la série FM, dépassera les ventes des Nikkormat avec, sans doute, un grand avantage, le “prestige” de porter officiellement le nom de Nikon.

Pourquoi avoir “re badgé” les Nikkormat ?

Nikon était fier de ces appareils, solides, faciles d’emploi, digne de la meilleure qualité de la marque, mais pour le marketing, ça faisait “too cheap”.

Par exemple, le Nikon L35AF possédait sans doute le meilleur objectif jamais dédié à un appareil compact, mais il était noté Nikkor car l’appareil était destiné aux amateurs. On supprima le nom.

De fait Nikon a toujours eu un problème face aux produits destinés au grand public, se concentrant exclusivement sur les pros avec la marque phare Nikon.

Avoir créé une “marque dans la marque” pour répondre à ce marché est symptomatique : le fait d’acheter un Nikkormat ne vous permettait pas d’entrer réellement dans la famille Nikon même si les standards de qualités y étaient aussi élevés. Un Nikon F était un appareil destiné aux pro, à tel prix. Le Nikkormat s’adressait au grand public, à un autre prix.

Ce n’est qu’au basculement du Nikkormat EL2, rebaptisé Nikon EL2, que l’on put assimiler les deux marques. Mais c’était tard, très/trop tard.

Pour en revenir au fonctionnement, le Nikkormat FTn n’a besoin d’une pile (une WeinCell pour respecter le 1,35v ou une PX 625A de 1,5v) que pour alimenter le posemètre.

Les objectifs sont des Nikkor mais on peut monter dessus les objectifs prévus pour les Nikon F. Celui de dotation était un Nikkor H 50mm f2. Il utilise tous les objectifs Ai (pour auto indexing) et non Ai de Nikon.

Attention, le montage de l’objectif requiert un peu d’habitude. La liaison entre les objectifs et le posemètre se fait grâce aux “oreilles” qui sont sur l’objectif et la broche qui est sur un anneau fixé au corps du boitier.

La broche du réglage de l’objectif, qui se glisse entre les “oreilles” de ce dernier.

Pour monter l’objectif sur le boitier, il faut mettre ce dernier à l’ouverture de f5,6. Puis il faut impérativement tourner la bague vers l’ouverture minimale (grand f) puis vers l’ouverture maximale (petit f) afin d’indexer l’ouverture maximale de l’objectif pour l’appareil.

En haut à gauche de la bague, l’ouverture maximale de l’objectif est indiquée par un petit point rouge le long d’une échelle marquée de f/5.6 à f/1.2. Une fois le Nikon Shuffle exécuté, le point doit correspondre à l’ouverture maximale marquée sur l’objectif, sinon l’objectif devra être retiré et remonté.

Notons que le Nikkormat FTn simplifie un peu le principe.

Contrairement aux Nikon, la bague des vitesses est sur un anneau derrière l’objectif (comme sur l’Olympus OM-1 p. ex.), pas un bouton sur le capot.

L’obturateur est un obturateur plan focal à lames métalliques se déplaçant verticalement. La plage de vitesse va de 1s à 1/1000s et la pose B.

Il propose deux prises de synchronisation de flash, une pour les flashs électroniques (prise X) avec une vitesse maximale de 1/125s, et une autre (prise M) pour les vieux flashs à ampoules. Dans ce cas, la vitesse d’obturation dépend du type d’ampoule.

Mais l’appareil ne propose pas de griffe/sabot pour un flash. Elle se monte grâce à une bague à fixer sur le viseur. Il faut toujours un câble pour la synchro flash, la griffe étant dite “froide”, il n’y a pas de synchro via la griffe.

La plage de sensibilité de la cellule va de 12 à 1600 Asa. Comme signalé plus avant, le système de mesure est du type à pondération centrale, à travers l’objectif (TTL), avec une répartition 60/40 %. C’est une cellule au sulfure de cadmium (CdS).

L’appareil hérite du système de contrôle d’exposition du F, le Photomic T : mesure intégrale à pleine ouverture.

Dans le viseur, sur votre droite, se trouve un système à aiguille, c.-à-d. qu’il utilise un pointeur qui indique la quantité de lumière reçue (visée et mesure à travers l’objectif – TTL) par rapport aux réglages réels faits sur l’appareil. Le but est de centrer l’aiguille dans le cadre limité par un “-” et un “+” (notez que le signe “-” est en haut).

Le témoin de la cellule est dupliqué sur le capot, à côté de la manivelle de rembobinage. Pratique si l’appareil est sur trépied.

La cellule s’active dès que vous armez et s’éteint lorsque vous ramenez le levier vers le corps du Nikkormat FTn.

Toujours dans le viseur, au centre il y a un microprisme central (4mm) sur une surface de mise au point mate. Le reste du verre est un dépoli fin.

Au bas du viseur, la vitesse d’obturation sélectionnée est visible en blanc (transparent) avec les vitesses supérieures et inférieures suivantes vues de chaque côté avec une teinte jaune. Le viseur offre une couverture de 92 % de la zone d’image.

Qu’écrire de plus sur ce bel appareil ?

Petit résumé en images

En fait, sur les 2 Nikkormat que j’ai acquis ce jour-là : l’un est un FTn et le second un FTns (avec les petits accessoires plastiques en sus). C’est ce dernier qui est en panne, car oui, même un Nikkormat peut tomber en vrac (à mon humble avis, ce dernier a dû souffrir).

Comme je les ai acheté nus, je cherchais un 50 mm pour tester celui qui fonctionne. Grâce à l’ami Pierre, j’ai pu trouver ce bel objectif AI Nikkor 50mm f2 qui accompagne désormais le boitier.

Je ne désespère pas trouver un jour un vrai F et/ou l’une de ses déclinaison mais les prix restent himalayens !

Ceci étant, cet appareil est très facile à utiliser (au moins quand on a réussi à y placer un objectif), peut-être moins “glamour” qu’un Canon A-1 ou F-1 mais nous ne sommes pas dans la même catégorie ni la même époque.

Si vous comptez en trouver un en bon état, comptez quand même pas loin des 100€ avec un objectif, et gardez un peu de monnaie pour vous payer une bonne sangle solide et confortable, avec son objectif vous ne serez pas loin du kilo autour du cou (1.194 gr avec un Nikkor 50mm f2 et un film 36 vues).

Reste que cet appareil fait partie des mythes que l’on a envie une fois dans sa vie de toucher, d’essayer, au même titre que les Canon que j’ai cité, que le Pentax LX, que le Minolta MX ou le Monilta 9 (que je ne désespère pas de trouver, aussi, un jour).

Publicités et illustrations d’époque (merci Collection-appareils)

Grenier-Natkin, 1966, avec les explications du principe des cellules CdS qui équipent le boitier
Grenier-Natkin, 1966. Il est toujours intéressant de voir les forces en présence à une époque donnée. Et – je pense – c’est ici que l’on voit pourquoi Zeiss Ikon était déjà dépassé par les appareils japonais !

Videos d’illustration et si vous deviez effectuer des réparations.

Des références : https://en.wikipedia.org/wiki/Nikkormat, https://www.bhphotovideo.com/explora/photography/hands-review/classic-camera-review-nikkormat-ft-2-poor-man%E2%80%99s-nikon-f, https://lens-db.com/camera/nikkormat-ft-1965/, https://filmphotography.eu/en/nikkormat-ft/, https://casualphotophile.com/2020/04/08/nikon-nikkormat-retrospective/, https://www.35mmc.com/29/07/2019/nikkormat-ftn-review/, http://camera-wiki.org/wiki/Nikomat/Nikkormat_FTN, https://www.destoutz.ch/nikkormat_ftn_bodies.html, https://www.ne.jp/asahi/japan/manual-camera/ftn1.htm, https://www.destoutz.ch/nikon-f.html, https://camarasclassicas.blogspot.com/2010/10/nikkormat.html, https://schneidan.com/2017/04/28/nikkormat-ftn-competent-companion-consumer/, https://en.wikipedia.org/wiki/Nikkorex#/media/File:Nikkorex_F_with_NIKKOR-S_Auto_1_-_2_f=5cm_lens.jpg en anglais; https://www.collection-appareils.fr/x/html/appareil-1174-Nikon_Nikkormat%20FT.html, http://www.appaphot.be/fr/brands/nikon/nikon-nikkormat-ft/, https://forum.nikonpassion.com/index.php?topic=136527.0, https://www.collection-appareils.fr/x/html/appareil-12501-Nikon_Nikkormat%20FT2%20.html, https://www.collection-appareils.fr/x/html/page_standard.php?id_appareil=11615, https://lemag.nikonclub.fr/focus-nikon-f/, https://lemag.nikonclub.fr/photographes-nikonistes-celebres/, https://www.collectiongeven.com/piwigo/index.php?/category/1228, en français

2 commentaires sur “Le Nikkormat FTn

  1. Le Nikkormat FTn… L’appareil qui m’a laché le plus rapidement… 3-4 films peut-être et l’armement n’a plus voulu fonctionner. J’ai été attiré par sa réputation de robustesse mais il semble que c’était juste cela… une réputation. Comme je n’avait pas d’autre boitier Nikon, j’ai revendu l’objo et je suis passé à autre chose.Pour le reste, une brique bien lourde comme on en fait plus avec un obturateur bruyant comme c’est pas possible. Question discretion, c’est raté ! Cordialement.

    • Bonjour Nicolas, je crains que ces appareils n’aient été surexploité par leurs propriétaires successifs et que ceux qui sont disponibles finissent un jour par casser (comme le FTns qui accompagne celui de l’article). Quant au bruit du déclencheur, sous les tirs au Vietnam ou ailleurs, pffff … mais en salle de concert de musique de chambre, à éviter ;-). Mes amitiés.

Vos commentaires sont les bienvenus, ils aident à faire avancer nos réflexions.

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Aller au contenu principal
%d blogueurs aiment cette page :