Mes appareils et leurs accessoires

Mon parcours est peut-être atypique, mais c’est le mien et je l’assume.

Finalement, et parce que c’est le photographe qui fait la photo et non l’appareil, même s’il aide à sa réalisation de par ses qualités, voire ses défauts qui sont comme des signatures, j’ai finalement arrêté mon choix de matériel, qui évoluera sans doute un peu, mais pas rapidement.

Pourquoi parler de matériel sur un site qui, normalement, présente des photos ? Pour vous éviter de vous poser la question « avec quoi il a pris cette photo ? »

Bon, soyons de bon compte, je ne vais pas indiquer sous chaque photo avec quel appareil celle-ci fut capturée, ni les données techniques de chacune, sauf à faire évoluer ce site vers un site d’apprentissage de la photographie, ce qui n’est pas mon propos. D’autres le font mieux que moi. Vous en trouverez quelques références dans la rubrique « liens ».

De toute manière, lorsque vous regardez les photos du site, dans la rubrique commentaire, les données techniques apparaissent, sauf un étonnant SP3000 qui veut juste indiquer que ces photos ont été prises avec des argentiques, non reconnus.

Simplement, comme j’ai tenté d’expliquer ma démarche, mes errances, mes coups de cœur argentiques ou numériques, il me semblait normal de terminer cet espèce de cycle en énumérant les appareils avec lesquels je travaille et qui correspondent, finalement, à ma pratique.

Au cas où cela vous aurait échappé, tous mes appareils sont des appareils d’occasion.

Pourquoi ? Par choix philosophique et pécuniaire. Philosophique parce que je trouve inutile cette course effrénée vers le toujours dernier appareil à la mode ou à la pointe de la technologie. N’oubliez pas que cette escalade ne concerne pas que votre appareil mais aussi toute la chaine informatique qui est derrière ! Un fichier de 20 millions de pixel est déjà « lourd » à traiter. Que dire de ceux de 40 millions et plus que l’on nous vante ? A moins d’être pro et d’avoir l’absolue nécessité de ce type d’appareil, j’estime que, pour ma pratique, ce n’est absolument pas nécessaire. Pécuniaire parce que mes argentiques m’ont généralement coûté de 15 à 50€, sauf quelques uns, il est vrai plus rares et exotiques, comme le Canon P, venu en droite ligne du Japon, ou les Leica, parce que se sont … des Leica !

Quant à mes numériques, la fourchette est plutôt de 150€ à 450€, ce qui reste très raisonnable (cette info est datée d’octobre 2019, pour vous situer dans le temps).

Mes optiques sont toutes des occasions, qui ont nécessité de la patience, un brin de chance et quelques négociations.

Tous les appareils décris sur le site ont été, aussi, des occasions, achetées par curiosité, intérêt, envie du moment. Ils ont tous été nettoyé de fonds en comble, les mousses parfois changées, des télémètres nettoyés avec prudence, des piles souvent bricolées pour remplacer celles au mercure qui équipaient les anciens appareils, notamment les Minolta, les Yashica Electro, les Canonet, les Minox, les Ricoh. Et ceux qui avaient satisfait ma curiosité, mon intérêt, mon envie du moment ont été revendu et fait le bonheur de nouveaux chasseurs d’image.

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