Le Gomz Leningrad – Ленинград

C’est un appareil que j’avais découvert par hasard, au grès de mes déambulations sur Ebay, et il m’avait intrigué.

Mais le prix, la rareté et, de nos jours, l’embargo contre les produits russes, m’ont fait penser à un phantasme, à un « un jour peut-être » …

Et puis une belle rencontre et un peu de chance m’ont fait découvrir un exemplaire qui semble sorti du magasin, dans son beau « sac tout prêt » en vrai cuir russe épais, vernis, sans presque une craquelure ni égratignure. Cet article fait partie d’une série d’hommages.

Je vous préviens tout de suite, impossible de faire l’impasse sur un peu d’histoire à son sujet.

Alors je commence …

Tout d’abord, la marque à l’origine de cet appareil est GOMZ pour Gosularstvennyi Optiko-Mekhanicheskii Zavod (soit Usine optique-mécanique d’État). Elle fut fondée en 1932 près de Leningrad, autrefois appelée Saint Petersbourg (du nom du saint patron de la ville, Pierre, en 1703), devenue Petrograd (russification du nom Sankt Petersburg à la première guerre mondiale, 1914 – 1924), puis Leningrad (1924 – 1991 à cause de Lénine) avant de revenir à son premier nom en 1991. C’est une des plus anciennes usines d’optique de Russie.

GOMZ deviendra LOMO (Leningradskoe Optiko Mekhanichesko Obedinenie pour Union optique-mécanique de Leningrad) en 1965.

Première remarque d’importance : le Leningrad, même s’il utilise la monture à vis LTM 39 d’origine Leica, est complètement issu de l’ingénierie russe. Contrairement aux FED, Zorki et Kiev qui sont, à l’origine, des « copies » du Leica ou du Contax, même s’ils évolueront ensuite sans plus rien devoir à la marque allemande, innovant même souvent.

Soyons de bons comptes, Gomz ne partait pas d’une feuille totalement blanche. Entre 1933 et 1937, l’usine a produit le Voomp Pioneer inspiré par le Leica II. Il ne sera produit qu’environ 1200 exemplaires de ce Pioneer. Et à la même époque, l’usine FED avait lancé sa « Commune du travail » pour jeunes en insertion et elle produisait le FED lui aussi très inspiré du Leica II.

Source : Soviet Cams.

C’est un appareil télémétrique avec télémètre couplé, motorisé et à objectifs interchangeables. Le premier prototype sera testé en 1953 mais sa production débute réellement en 1956 et ce jusqu’en 1968.

Cependant, seulement un peu plus de 76.000 exemplaires seront produits pendant cette (longue) période de fabrication. Et très peu seront vendus à l’étranger bien que le Leningrad ait représenté ce qui se faisait de mieux en terme d’appareils photographiques venu de Russie.

Il remportera le Grand Prix de l’Exposition Universelle de Bruxelles en 1958.

Vous vous doutez bien que sur cette longue période de production il évoluera par petites touches : le nom de la marque changera, il y aura des exemplaires (rares) en lettres latines, la séquence des vitesses changera, la forme des boutons, le nombre de vis, bref du classique pour nos amis collectionneurs.

D’origine, l’appareil sera livré soit avec un Jupiter 3 ouvrant à f1,5 (50mm) soit avec un Jupiter 8 ouvrant à f2 (50mm toujours, comme sur mon exemplaire).

Seconde remarque importante, la motorisation repose sur un ressort, que l’on remonte via la grosse molette sur le dessus (il y eut même des exemplaires destinés à la Police soviétique avec des ressorts doubles pour photographier plus longtemps). Ce « moteur » donne une cadence de 3i/seconde et une « remontée » autorise la prise de 12 vues consécutives.

Pour bien comprendre le mécanisme de ce gros bouton de remontage, sachez qu’il exerce une tension sur le transport du film et sur l’obturateur pour faire avancer automatiquement le film et armer l’obturateur après chaque exposition, préparant ainsi l’appareil photo pour sa prochaine prise de vue. Une pièce de mécanique horlogère en somme.

Petite remarque utile pour ceux d’entre vous qui ont le doigt lourd et la rafale facile : la prise de vue en continu n’est pas possible. Ce qui veut dire que pour atteindre les 3i/sec il vous faudra un index agile.

Autre chose, si vider une bobine de film semble assez rapide, le rembobinage est lent. Pourquoi ? Parce que le gros bouton de traction du film s’accouple à un engrenage interne, démultiplié vers le bas et pas vers le haut. Ce qui signifie que la bobine tourne plus lentement que vous ne faites tourner le bouton. Tout est fait pour restreindre vos ardeurs car le bouton de rembobinage est en fait un disque plat moleté qu’il faut dévisser en appuyant dessus avec la pointe du pouce.

Le télémètre est intégré au viseur (comme le Zorki 3 – 1951 – et le Leica M3 -1953) et comme le Leica, le cadre s’adapte à la focale de l’objectif monté sur le boitier (35mm – 50mm – 80mm – 135mm). De plus, le viseur bénéficie d’une correction dioptrique toujours bien utile.

Il faut bien se dire que les boitiers télémétriques dotés de plusieurs lignes de trame étaient encore assez rares à l’époque. Et si chacun y allait de sa recette, il n’y avait pas de consensus fort en matière de conception sur la meilleure façon de le faire. Il y avait les lignes lumineuses « projetées » du Leiva M3 et du Nikon SP puis les lignes de cadre « réfléchies » du Nikon S3 ou des Canon VI et P.

Le Leningrad propose lui des lignes claires, gravées pour les objectifs de 35, 50, 80 et 135mm sur fonds noir. La fenêtre complète du viseur est égale au champ de vision d’un objectif de 35 mm.

Source : Micke Eckman

Si on y ajoute, comme je le signalais plus haut, une compensation dioptrique via un oculaire moleté à filetage hélicoïdal, ce boitier offrait un système de visée bien sophistiqué pour son époque.

Heu, petite astuce au sujet de cette correction via le dévissage de l’oculaire, n’allez pas trop loin sous peine de le dévisser complètement et de devoir chercher après car il sera tombé !

Et tant qu’à montrer la sophistication de cet appareil au sujet de la visée, un peu de technique : le viseur est « semi-compensé » pour la parallaxe en déplaçant latéralement toute l’image pendant la mise au point. De fait, le point du télémètre reste fixe pendant que le champ extérieur se déplace. Cela est possible grâce à un système optique très sophistiqué qui implique un prisme en toit monté à l’extrémité d’un bras pivotant au lieu de miroirs ou de séparateurs de faisceau pour projeter une image télémétrique précise pour une mise au point facile. Malgré une base télémétrique de 57mm « seulement », l’image est lumineuse et très nette même par rapport aux concurrents de l’époque.

Il faut cependant un certain temps pour s’habituer à ce « point télémétrique », car il s’agit uniquement d’une image divisée – contrairement à la plupart des télémètres combinés, le point n’est pas semi-transparent. Vous vous concentrez donc en alignant des lignes verticales sur les bords du patch. C’est très simple et précis s’il y a des lignes verticales dans le sujet — mais pour les sujets moins délimités tels que les visages, les surfaces texturées, les champs de fleurs, heu … c’est moins évident. On ne peut pas être bon partout.

Il existe un réglage pour le télémètre : la petite plaque située sur le capot, devant la griffe porte-accessoires, permet un ajustement, en étant prudent.

N’oublions pas que c’est un appareil tout mécanique, aux « commandes » peu nombreuses : vous réglez la visée et la vitesse vous-même. Pas de cellule, pas de pile.

Puisque j’aborde les vitesses, l’obturateur est lui aussi assez avancé avec des vitesses d’obturation de 1s, 1/2s, 1/4s, 1/8s, 1/15s, 1/30s, 1/60s, 1/125s, 1/250s, 1/ 500s, 1/1000s, B, Д ou T (exposition longue). La notation des vitesses changera dans le temps (voir ci-dessous mon exemplaire, daté de 1958).

L’obturateur est en soie caoutchoutée, solide mais complexe en cas de problème. Il offre une synchronisation du flash réglable et une griffe porte-accessoire dite « froide » (pas de contact central).

Autre choses à laquelle il faut s’habituer (je vous l’ai écris, c’est un appareil singulier) : il est impossible de faire avancer le film autrement que par le moteur à ressort, j’y reviendrai.

Ensuite, pour l’ouvrir vous devrez tourner une clé en dessous et dévisser une molette afin de faire glisser tout le dos vers le bas. Vous devrez faire tourner la molette plusieurs fois dans le sens anti-horaire pour libérer le dos. Mais au centre de cet anneau vous voyez un bouton plus petit, avec un motif moleté en métal sur lequel vous devrez appuyer tout en tournant la molette, ceci afin de relâcher la tension sur le tambour autour duquel le film est enroulé.

Sans cette double manipulation, il est impossible de rembobiner le film car le tambour maintiendra la tension sur le film et le risque de le déchirer est bien réelle.

Lorsque vous aurez remis un nouveau film dans la chambre, ne pas oublier de ré-appuyer sur ce bouton pour remettre la tension du le tambour sinon le film n’avancera pas correctement.

Oui, je sais, on a déjà fait plus simple !

Dans la chambre, vous découvrirez qu’il n’y a pas d’arbre d’entrainement du film pour mesurer le déplacement de celui-ci, ni d’engrenage différentiel pour compenser l’épaisseur supplémentaire à mesure que le film s’accumule sur la bobine réceptrice. Ce qui induit que l’espacement entre les cadres augmente progressivement tout au long du déroulement du rouleau. Ce n’est pas un problème pour l’utilisateur noir et blanc, mais cela rend la vie difficile au tireur de diapositives puisque les machines automatiques de découpe et de montage seront perturbées (ce qui implique que vous devrez couper et monter vos diapositives à la main).

Ce système d’avance sans pignon explique pourquoi la bobine réceptrice est si grosse : en fait, le mécanisme fait tourner la bobine d’1/2 tour exactement pour chaque image.Il fallait qu’elle soit suffisamment grande pour pouvoir tirer le film sur toute la distance.

Mais à chaque image qui s’enroule, le diamètre effectif de la bobine augmente et donc l’espace entre les images aussi.

Attention, le ressort d’entrainement n’est pas dans la grosse bobine mais dans le gros bouton sur le capot.

Si jamais vous étiez tenté de le démonter, pour éviter de prendre le ressort en pleine figure, il faut prendre toutes les vues (ou déclenchements) emmagasinées lors d’un remontage, jusqu’à ce qu’il s’arrête. Il y a encore un peu de tension résiduelle, que vous pourriez vider en réarmant l’obturateur via la molette des vitesses, avec précaution.

Tiens, un petit truc utile, au cas où.

Si votre Leningrad refuse soudainement de faire avancer le film après avoir déclenché, plusieurs causes sont possibles :

  • le ressort est trop tendu,
  • le ressort est trop lâche,
  • le film est trop tendu,
  • le film est trop lâche,
  • il fait trop humide,
  • il fait trop froid,
  • c’est un jour férié …

Ne le jetez pas par la fenêtre (vous pourriez blesser quelqu’un, il pèse 990gr !), essayez de faire tourner la molette des vitesses dans le sens inverse des aiguilles d’une montre puis relâchez-là. Souvent cela permet de libérer le mécanisme et permet au film d’avancer à la vue suivante. De toute manière, comme il n’existe pas d’autre moyen manuel de faire avancer le film, croyez-y très fort !

Pour fixer le film à la bobine réceptrice, vous devrez recouper l’amorce car la fente est très petite. Il faut en outre faire tourner légèrement la bobine pour pouvoir l’y glisser puis refermer l’appareil et armer le ressort. Pour désengager la bobine, il faut dévisser le petit bouton en dessous de celle-ci. Vous pourrez la faire bouger pour engager l’amorce. Ne pas oublier de bien revisser le tout ensuite.

La caractéristique la plus remarquable du Leningrad est sans aucun doute le transport motorisé du film, mais c’est aussi le maillon le plus faible de l’appareil. Avec un film chargé dans l’appareil photo, il n’y a absolument aucun moyen de savoir si le film avance correctement. Si l’amorce se détache du tambour, le boitier continuera à s’enrouler et à déclencher normalement. Comme le bouton de rembobinage ne tourne pas pendant le transport normal du film, comme sur la plupart des appareils photo mécaniques, vous ne savez pas s’il est correctement chargé.

Comme vous avez pu le découvrir sur les photos jointes, le Leningrad est tout métallique, avec un simili-cuir du plus bel effet. Sa forme, rectangulaire, est assez imposante (plus grand qu’un Contax à qui il pourrait faire penser un bref instant d’égarement) et pourtant, sa tenue en main est confortable, notamment grâce à la forme particulière de la poignée, un peu inclinée, sur la gauche.

Au rayon des gadgets utiles, je note cette base qui se replie sous l’appareil mais qui, une fois mise en place, stabilisera complètement l’appareil sur une surface plane.

Sur le capot, à gauche, une grosse molette noire : elle ne sert que de « pense-bête » pour le type de film inséré dans l’appareil. Les sensibilités sont exprimées en DIN et Gost (ГОСТ). L’échelle GOST utilise un système de numérotation arithmétique assez similaire à l’échelle ASA, ne différant que d’un facteur de 0,1. Par exemple, GOST 90 est identique à ASA 100, 180 correspond à 200, etc.

Sous le gros bouton du ressort, les chiffres de 5 à 20 sont gravés dans le métal du capot. En fait, ils représentent des délais réglages de 5 à 20ms lorsque l’on utilise des flashs. C’est le petit curseur mobile juste sous le gros bouton qui sert à régler ces délais, fonction des ampoules utilisées.

Ce qui est un peu gênant c’est qu’il n’existe plus de « tables » avec ces délais car on n’utilise plus ces types de flashs. Peut-être sur de vieilles boites d’ampoules …

Encore un mot, au sujet des objectifs cette fois.

Si la baïonnette est au standard LMT 39 vous ne pourrez toutefois pas monter tous les objectifs existant dans cette monture sur le Leningrad. En effet, le bord du capot dépasse et vient buter contre les objectifs dont le fut est court. ce qui veut dire que quelques objectifs Japonais (Nikon, Canon) ou Allemands (Leica, Voigtländer) ne passeront pas. Il faut être attentif en cas d’achat d’objectifs complémentaires au 50mm de la dotation.

Il me reste à vous parler du retardateur, en façade, qui se déclenche après 10 secondes et je crois avoir fait le tour de ce magnifique appareil.

Et du compteur de vue, qui « décompte » en fait et que vous devrez remettre à zéro avec le bouton plat à l’arrière.

Et à vous rappeler qu’en bon appareil russe, il ne faut jamais changer les vitesses avant avoir armé, sous peine de salade de pignons.

Alors, qu’en penser de ce Leningrad ?

Je le trouve fascinant, de par ses trouvailles techniques, la qualité de sa construction, sa complexité aussi. Il n’a rien emprunté à qui que ce soit, il est unique dans sa conception, même si elle est sujette à certaines bizarreries.

Reste qu’il est rare, surtout en bon état (rappelez-vous, seulement 76.000 appareils ont été assemblés) et donc les prix sont en conséquence. Comptez environ 300€ pour un exemplaire avec sa gaine et un des objectifs de base (Jupiter 3 ou Jupiter 8).

L’essayer, c’est une expérience et trouver des appareils aussi différents, c’est un immense plaisir.

Video d’illustration :

Un peu de technique :

Appareil photo télémétrique
Fabricant : Usine GOMZ
Période de production : de 1956 à 1968
Format : 24x36cm sur pellicule 135
Monture d’objectif : monture filetée m39
Objectif : Jupiter 8 f2.0 50mm ou Jupiter 3 f1,5 50mm
Base du télémètre : 57 mm
Obturateur : obturateur à plan focal avec des vitesses de 1 à 1/1000 sec.
Viseur : viseur optique à parallaxe combiné à un télémètre
Synchronisation du flash : prise de synchronisation « X », vitesses de synchronisation à partir de 1/20 s et plus.
Retardateur : mécanique
Poids : 900 grammes nu

Des références :https://mikeeckman.com/2018/10/gomz-leningrad-1956/, http://camera-wiki.org/wiki/GOMZ, http://camera-wiki.org/wiki/Leningrad, http://www.photoethnography.com/ClassicCameras/Leningrad.html, https://sovietcameras.org/gomz-lomo/, https://sovietcameras.org/leningrad/, https://cameraquest.com/soviet.htm, https://okvintagecamera.com/, https://corsopolaris.net/supercameras/leningrad/leningrad.html, http://ussrphoto.com/Wiki/default.asp?WikiCatID=12&ParentID=1&ContentID=75&Item=Leningrad en anglais; https://www.collection-appareils.fr/x/html/appareil-11017-Gomz_Leningrad.html, http://www.appaphot.be/fr/brands/gomz/gomz-leningrad/

4 commentaires sur “Le Gomz Leningrad – Ленинград

  1. Bel appareil mais après toutes ces années, en trouve-t-on toujours en état de marche ? Pour le remettre en état, à part Oleg Khaliavin, je ne vois pas d’autre à qui s’adresser… D’ailleurs, il en a un à vendre pour 150 Euros, a priori révisé (ce serait le comble…).

    Il y aurait beaucoup à dire sur la planification et sur la « logique » économique occidentale mais je m’en tiendrait là, ce n’est pas le sujet principal.

    Cordialement,

    • Bonjour Nicolas, on en trouve encore mais les prix sont costauds pour ceux en bon état. Seulement 76000 exemplaires ont été construit (720000 selon d’autres sources) et leur complexité les rends parfois fragile si on n’y fait pas attention, il reste donc beaucoup « d’épaves ».
      Quant à la logique économique occidentale, elle est dans un mur, nous en sommes conscients 😉
      Bien amicalement Nic.

  2. Bonjour. J’ai eu cet appareil dans ma collection d’appareils photographiques Russes. Il est en effet très attachant, j’ai même réalisé quelques photos avec pour le fun, le résultat était correct. Les optiques russes étant pour certaines très bonnes si vous avez la chance de tomber sur celle qui a été bien contrôlée. Il fallait réaliser les objectifs en respectant le nombre de réalisations du plan et les contrôles n’étaient pas toujours top, c’est au petit bonheur la chance. Il y a un autre appareil qui est réellement russe, c’est le Kiev et notamment le modèle 15,15Tee et modèles antérieurs, dans ces séries et qui est le seul appareil au monde à posséder un obturateur métallique en forme d’éventail, ce qui lui donne une grande douceur au déclenchement. Merci pour vos articles et bonne continuation. Bien cordialement.JeanR

    • Bonsoir Jean. Merci de ce retour d’expérience. Je ne connais pas le Kiev 15 mais il doit être intéressant. Pour le reste, vous avez raison, la plupart des appareils ou optiques d’après les années soixante semble-t-il n’ont plus bénéficié de contrôles efficaces et gare si on tombe sur l’appareil du lundi matin, du vendredi soir, etc. La logique planificatrice contre la logique économique en somme. Merci de vos encouragements aussi, ça fait toujours plaisir. Bien cordialement.

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