Canon Eos 7D

Finalement, je pense que je vais leur demander de me sponsoriser chez Canon …

Vous qui me suivez, connaissez mon attachement pour cette marque, avec laquelle j’ai commencé la photo (mes parents avaient un Canon Ftb) et qui est bien la seule à proposer des menus clairs, limpides, bien ordonnés et, pour les derniers modèles, avec une aide directe au cas où.

Je vous avoue que j’ai failli les quitter, partiellement. Mon Eos 5D Mark III, qui reste un appareil d’exception, est devenu trop lourd pour moi, surtout monté avec les optiques série L.

J’avais décidé de ne garder que l’Eos 6D et le tout petit Canon Eos 100D mais comme j’aime bien avoir deux boitiers performants, montés avec des objectifs de qualité, j’avais opté pour un Olympus OM-D EM-1, un reflex hybride.

L’Olympus OM-D EM-1 est petit, relativement léger, très performant, tropicalisé, stabilisé sur 5 axes et peut s’accompagner de nombreux objectifs très qualitatifs, mais … c’est un hybride !

Et je n’arrive toujours pas à m’y faire !

Les menus sont interminables, avec des fonctions auxquelles je n’ai toujours rien compris (ça doit être l’âge), une logique un peu (trop) particulière et, surtout, une image qui ne sera jamais celle que je vois, moi, mais celle que le capteur, aussi performant soit-il, me transmet.

Bref, j’ai cherché dans la gamme Canon un appareil qui devrait pouvoir correspondre, pour un budget raisonnable, à ma quête.

Les Eos 80 et 90 D me faisaient de l’œil, mais encore trop récents sur le marché, les prix sont élevés, tout comme l’Eos 7D Mark II.

Finalement, j’ai opté pour un APS-C, qui accepte les optiques EF que j’ai déjà – même s’il faudra penser au coefficient de conversion de 1,6 – qui a eu beaucoup de succès à sa sortie, en 2009 : l’Eos 7D.

Oui, il n’est pas récent (quoique celui que j’ai acheté soit un peu plus jeune) mais il a largement été applaudi lorsqu’il est apparu, niché entre le réflex pro Eos 5D Mark II et l’expert 50D. Je ne vais pas reprendre ici sa fiche technique complète, que vous trouverez ICI et LA.

Donc, en résumé :

  • capteur APS-C 18 Mpx (coefficient conversion 1,62)
  • vitesses : de 30 s max à 1/8000s + pause B
  • synchro flash : 1/250s
  • émetteur Speedlite intégré pour la gestion des flash externes
  • sensibilité ISO : 100 à 12800 (excellent jusqu’à 3200)
  • viseur : 100% (le confort !)
  • rafale : 8 i/s
  • boitier en alliage de magnésium, tropicalisé

Pour vous donner une idée de son excellence, il ne fut remplacé chez Canon par un Eos 7D mark II qu’en … 2014.

Me voici donc avec un nouveau parc Canon :

  • Canon Eos 6D full frame
  • Canon Eos 7D APS-C (coefficient de conversion de 1,6 pour les objectifs EF)
  • Canon Eos 30 (argentique)
  • EF 24 – 70 mm f2,8 constant série L
  • EF 17 – 40 mm f4 constant série L
  • EF 85 mm f1,8 constant
  • EF 70 – 300 mm f4 – 5

Ce qui me frustre encore c’est que j’ai dû passer chez Lumix (le DMC-GX9) pour trouver mon compact pro performant, Canon n’ayant pas investi dans le segment de ces appareils avec viseur et objectif interchangeable.

Pour l’instant, j’ai monté le 70 – 300, avec un doubleur de focale Kenko, sur l’Eos 7D. Ça me permet de suivre « nos petites bêtes » qui viennent égayer nos longues journées de confinement, fut il partiel cette fois ci.

Donc, bientôt les photos dans La Terre est belle.

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