Le Voigtländer Vitomatic IIa

Encore un appareil ramassé sur une brocante.

Franchement, j’aime bien ces appareils, ils donnent toujours l’impression d’être si solides, si bien pensés, bref des appareils faits pour durer autre chose qu’un été.

Tout métal et verre, on n’est pas trompé sur la marchandise : dès qu’on le prend en mains, on sait que c’est du costaud et que, souvent, septante ans plus tard, ils vont encore fonctionner.

Petit tour historique pour commencer car Voigtländer est le plus vieux fabricant d’appareil optique du monde. Pensez donc, ils ont commencé en 1756 !

Bon, d’accord, la photographie n’est apparue qu’en 1824 avec la première image fixée par Nicéphore-Niepce mais Voigtländer fabriquait déjà des appareils de mesure (astrolabe et boussole pour la navigation) scientifique. Puis l’entreprise évolua vers le début des années 1800 en fabriquant des appareils optiques (lunettes de visée) et enfin, de fil en aiguille, des objectifs pour l’industrie naissante de la photographie.

Dont le célèbre Petzval, inventé par un professeur hongrois, Jozef Maximilián Petzval, qui fut le premier objectif à utiliser les mathématiques et les principes physiques de la lumière alors que la concurrence utilisait empiriquement des morceaux de verre plus ou moins incurvés. Nous sommes au début des années 1840.

Les premiers daguerréotypes ont utilisé des Petzval car leur ouverture (équivalent à f3,7, un record pour l’époque) autorisait le photographe à faire du portrait dans des temps contenus (les premiers portraits demandaient des dizaines de minutes et tout un assemblage pour que les sujets ne puissent pas bouger).

En 1862, Voigtländer produisait son 10.000ème objectif Petzval. La firme était, à l’époque, le leader mondial de l’optique pour appareils photographiques.

Mais la daguerréotypie commençait à s’essouffler et Voigtländer continuât à fabriquer des objectifs à portrait mais pour les autres types d’appareils, ceux qui commençaient à utiliser des plaques de verre puis du film en rouleau.

Ainsi sont nés dans la foulée les premiers appareils photographiques de la marque, vraisemblablement vers 1890. Appareils à soufflet qui consistaient plutôt en assemblage de pièces de diverses origines, ce qui les rend difficiles à authentifier.

Il faudra attendre l’essor du film en rouleau inventé par Kodak pour que Voigtländer se décide a fabriquer ses propres appareils de manière suivie et rigoureuse. Nous sommes au début des années 1900.

C’est également à cette époque que Voigtländer commence à expérimenter de nouvelles conceptions de lentilles plus avancées techniquement, appelées lentilles Heliar, Dynar et Kollinear. Chacun de ces objectifs seront les prédécesseurs des objectifs Skopar et Color-Spokar qui connaîtront un énorme succès plus tard au 20e siècle.

L’histoire est lancée. Tout allait bien pour l’entreprise, qui dut même déménager pour des locaux plus grands. Mais 1915 et la première guerre mondiale allait rattraper la firme et au sortir de celle-ci, elle connut pas mal de difficultés, l’économie allemande étant exsangue.

Des collaborateurs de qualité allaient quitter le navire, comme Rudolf Heidecke et Paul Franke qui fonderont leur propre entreprise Franke & Heidecke, qui sera plus tard connue sous le nom de Rollei et deviendra l’un des principaux fabricants d’appareils photo allemands du 20e siècle. Le Rolleiflex sera un concurrent redoutable !

Petit à petit, les choses s’améliorent et vers 1925, Voigtländer sera racheté par la société chimique allemande Schering AG, ce qui donne un coup de fouet salutaire. En 1929, l’entreprise connait un grand succès car ils fabriquent des modèles utilisant les films en rouleau, qui sont davantage destinés au consommateur moyen. C’est la naissance du Bessa original, au sujet duquel je prépare un article pour bientôt.

Ce nom Bessa sera la gamme d’appareils photo la plus réussie de la société, qui commence par des appareils photo pliants à film 120 qui donne des images en 6 x 9cm, puis 6 x 6cm et évoluera au cours des 80 prochaines années pour devenir un appareil photo numérique qui est toujours vendu aujourd’hui, mais fabriqué par … Cosina au Japon.

Ces appareils, comme le Perkeo, l’Inos restent des folding, d’excellente qualité certes mais qui commencent à dater car à l’époque un nouveau format est apparu sur le marché, le film 135mm inventé par un certain Oskar Barnak.

Voigtländer fut sans doute un des derniers fabriquant allemands à se mettre à ce nouveau format. Tous les concurrents de l’époque étaient passé au 135. Ce n’est qu’en 1939 que la firme se lance dans l’aventure avec le premier Vito, un petit folding qui utilise le nouveau format mais sans les perforations du film. Il ne sera pas produit longtemps, une seconde guerre mondiale pointe son sinistre bout du nez.

Ce sera en 1947 que Voigtländer relancera la fabrication du Vito. Cette fois il utilise le 135mm en bande avec perforations mais avec des cartouches propriétaires, ce qui a entrainé une profonde refonte du modèle original. Son principal concurrent se nomme Kodak Retina, celui imaginé par Nagel.

Ce Vito sera abandonné en 1951 et remplacé par un Vito II : celui-là utilise le même film en bobine « industrielle » que le Kodak et les autres concurrents mais il reste un modèle avec un soufflet. De taille réduite et très compact mais avec cette technologie déjà ancienne au seuil des années cinquante.

Pourtant, ils ne se reposent pas sur leurs lauriers, notamment au niveau des  objectifs : on voit apparaitre les premiers objectifs Color-Spokar, optimisés pour la photographie couleur.

Mais il faudra attendre 1954 pour voir apparaitre le Vito avec une carrosserie en une seule pièce : un capot, un viseur, un dos qui s’ouvre et plus de soufflet. Il s’appelle dorénavant Vito B.

Une autre particularité du Vito est qu’il sera produit jusqu’en 1970 et désignera tant les modèles d’entrée de gamme que ceux du haut de gamme.

Puis en 1958, le modèle évolue encore et s’appelle dorénavant Vito BL. Il reçoit (enfin) un viseur amélioré qui est beaucoup plus grand que tout ce qui se trouvait alors sur le marché.

Cet immense viseur était constitué d’un seul morceau de cristal et offrait une image au rapport 1:1 qui permettait au photographe de prendre des photos avec les deux yeux ouverts. Confort absolu pour tous ceux qui avaient été habitué au trou de serrure des autres appareils de l’époque.

Parallèlement à la sortie du BL, une variante appelée Vitomatic est lancée, qui ajoute un posemètre à cellule au sélénium couplée.

Le Vitomatic sera disponible soit avec une configuration avec viseur simple uniquement (Vitomatic I), soit avec un télémètre couplé, le Vitomatic II.

En 1960, les Vitomatics Ia et IIa recoivent deux mises à niveau assez importantes :

  • un obturateur revu qui augmentait la vitesse maximale de 1/300s à 1/500s,
  • et un miroir de viseur « intelligent » qui permettait à l’utilisateur de voir le système d’aiguille (cellule) depuis le viseur.

Cette innovation permettait au photographe de composer son image tout en ayant sous les yeux la lecture de la lumière. Le Vitomatic IIa sera d’ailleurs le tout premier appareil photo doté d’un affichage intégré d’un compteur à aiguille visible dans le viseur.

Il sera le modèle le plus vendu (200.000 exemplaires selon les estimations). Ce qui est assez fantastique car ce Voigtländer n’était pas un appareil bon marché pour l’époque. Le prix du confort et de l’innovation en somme.

Mais pourquoi Vitomatic ?

On pourrait croire que tout est « automatique » mais n’oublions pas que nous sommes en 1958 et la notion se réduit à ce que les éléments utiles pour prendre une photo soient faciles à voir et à utiliser.

J’explique : auparavant, pour faire une photo, il fallait posséder au pire une cellule à main ou au mieux une cellule non couplée sur l’appareil. Ce qui imposait de quitter le viseur pour voir les indications. Ensuite le Vitomatic IIa est un télémétrique, ce qui veut dire que les modifications de distance que vous opérez se voient directement dans le viseur, ce qui est une grande facilité par rapport aux appareils où il faut estimer la distance que l’on rapporte sur le fut de l’objectif (souvent avec des distances gravées, plus tard avec des pictogrammes).

Vous avez donc là les « automatismes » qui vous facilitent la prise de vue.

Plus un bonus censé vous simplifier la vie dans la sélection des vitesses et de l’ouverture : la configuration de la vitesse et de l’ouverture est couplée à la valeur d’exposition (EV). De fait, la bague d’ouverture ne peut se déplacer que dans la plage de vitesses d’obturation limitée par le réglage de l’EV. Cette fonctionnalité, permet d’effectuer tous les réglages sans retirer l’appareil photo des yeux.

Heu, on aime ou on n’aime pas …

Esthétiquement, l’appareil respire la solidité. Compact il est aussi « dense » en mains : tout est en métal et en verre, il flirte avec les 750gr nu.

Rappelez-vous, le viseur est constitué d’un seul bloc de cristal, en plus des miroirs de renvoi du télémètre et de la cellule. Lourd mais stable.

Personnellement je ne le trouve pas forcément très équilibré avec la saillie du bloc qui porte la cellule sur le devant d’un côté et de l’autre la fenêtre du télémètre, puis « l’écran » au dessus. Le déclencheur, qui dépasse beaucoup, est un simple tube, fileté si on veut y adjoindre un câble, pas très élégant. Mais il a un charme certain.

Par contre, le levier d’armement, très fin, se dissimule à l’arrière, tout en étant facile d’accès.

Autre jolie pièce de design, la manivelle de rembobinage, qu’il faut dégager grâce au petit curseur en dessous, ce qui fait « monter » le bouton de rembobinage.

Ensuite pour ouvrir l’appareil, il faut ouvrir le verrou, en dessous, ce qui libère tout le dos.

Un mot sur l’objectif du Vitomatic Ia ou comme ici, le Vitomatic IIa. Il s’agit du Color-Skopar 50mm ouvrant à f2,8 à 4 éléments. Il a existé quelques rares boitiers équipés d’un Ultron de 50mm ouvrant à f2 (6 éléments). Moins de 6500 exemplaires ont été fabriqués sous cette configuration, les prix sont bien évidemment à l’avenant de nos jours.

Finalement les Vitomatic Ia et IIa seront remplacé par des Ib, IIb et même IIIb après 4 ans de bons et loyaux services.

La carrosserie est modifiée, plus « moderne » et quelques fonctionnalités sont revues quand d’autres passent à la trappe (comme l’affichage de la cellule sur le haut du capot).

Encore 4 ans de production et un nouveau modèle proposera cette fois une cellule au CdS, alimentée par une pile. Pourtant, cette nouveauté n’aura pas le même succès que le précédant (moins de 25.000 exemplaires contre plus de 200.000 entre 1961 et 1963 pour « l’original »).

En effet, le Vitomatic IIa reste apprécié pour son apparence et, surtout, la qualité de sa fabrication, que les modèles suivant ne rencontreront plus (la marque fait de économies).

Pourtant, de nos jours, cet appareil n’est pas le plus recherché. Cependant, la qualité de son objectif, son viseur extraordinaire, le fait de voir en direct l’aiguille de la cellule, voire même le réglage par EV en font des arguments qui devraient plaider en sa faveur car ils simplifient son utilisation et la rendent très agréable.

Là je vais encore me faire des amis mais quand je vois les prix pratiqués chez Lomography pour des appareils tout en plastique et fragiles, je me dis qu’il est aberrant de ne pas se tourner vers cet appareil si on veut photographier « autrement » tout en bénéficiant de la qualité de fabrication de celui-ci.

Est-il facile à utiliser ? Oui, même si certaines « bizarreries » le rendent attachant : la première, c’est la manière d’ouvrir le dos de l’appareil. Il faut soulever le petit verrou sous la semelle pour ouvrir une petite partie du dos, puis la seconde partie s’ouvre aussi.

Avantage de la manœuvre ? Celle de pouvoir facilement glisser la cartouche dans la chambre.

Ensuite, il est conseillé de faire sortir la molette de rembobinage. Ici aussi avec une évidence pour faciliter le chargement du film car de cette manière vous pouvez retendre le film facilement dans la cartouche et ensuite, comme vous avez débrayez la roue d’entrainement, vous avez plus facile pour amorcer le film sur la bobine réceptrice. C’est subtil, si, si …

Voilà, vous avez fixé l’amorce, vous avez retendu un peu le film. Après avoir vérifié que le film est bien placé au dessus des roues dentées, refermez d’abord la grande porte puis la plus petite, que vous prendrez bien la peine de bien verrouiller. Ah, ne pas oublier de remettre le bouton de rembobinage dans sa position initiale sous peine que le film ne s’enroule pas comme il faut.

Tant que vous êtes en dessous de l’appareil, profitez-en pour réinitialiser le compteur de vue car il ne le fait pas automatiquement. Attention, comme sur le Kodak Retina, il compte à rebours. Ce qui veut dire que vous devez indiquer le nombre de vues de votre film : s’il s’agit d’un film de 36 vues, vous vous mettrez sur un F rouge, à côté du chiffre 36. Vous verrez aussi une seconde marque rouge, à la 22ème image. Elle était destinée au film de 20 vues (plus produit). Par contre, si vous mettez un film de 24 vues, réglez le compteur sur 26. Effectuez deux prises « à blanc » et vous voilà prêt. Le compteur va « décompter » les photos au fur et à mesure de vos prises de vues.

Autre point étrange quand on n’a pas l’habitude, les indications du posemètre, sur la plaque supérieure : vous voyez une aiguille et un cercle. Grâce à une série intelligente de miroirs, la lumière qui pénètre à travers le posemètre est réfléchie dans la partie inférieure du prisme du viseur afin que vous puissiez voir une image miroir du compteur tout en regardant à travers le viseur. Simple et efficace.

Le corollaire de cette position particulière c’est qu’il vous faut de la lumière pour voir l’aiguille dans le viseur. S’il fait sombre ou si le dessus de l’appareil est à l’ombre, vous ne verrez rien.

Comment ça fonctionne ? Vous avez donc une aiguille et un rond. L’aiguille est connectée au posemètre et elle bouge en fonction de la quantité de lumière détectée (principe des cellules au sélénium). Par contre, le rond est en liaison avec les bagues d’ouverture et de vitesse de l’objectif. Si vous vous en souvenez, ces deux bagues sont couplées avec un système d’indice de lumination (EV). Le but, vous vous en doutez, c’est de faire coïncider l’aiguille avec le centre du cercle en bougeant les bagues de l’objectif. Si vous êtes au centre, votre exposition est juste.

C’est un peu étrange au début mais on s’y fait assez vite et c’est précis.

Vous pouvez évidemment vous affranchir de ce système. Le Vitomatic IIa indique en jaune les vitesses B et inférieures au 1/30s pour vous rappeler qu’il y a risque de flou. Les vitesses au dessus du 1/60s sont en noir, le risque étant écarté.

Enfin, le Vitomatic IIa est un télémètre, ce qui permet de faire une mise au point fine, en tournant la bague des distances de l’objectif.

Mais vous pourriez préférer travailler par « zones » – c’est parfois plus rapide – et c’est d’ailleurs prévu : sur la bague de mise au point vous trouverez un cercle et un triangle rouges qui indique l’optimisation de la profondeur de champ.

Le triangle sera utilisé pour les portraits lorsque le sujet est entre 80cm et 3.5m tandis que le cercle sera utile pour les paysages lorsque le sujet est au delà des 3,5m jusque l’infini.

Il suffit de tourner simplement la bague de mise au point sur le triangle ou le cercle selon votre situation et réglez la bague d’ouverture sur au moins f. /5,6 ou plus et votre photo sera toujours nette. Si vous utilisez f/8 ou plus, vous aurez une zone de mise au point toujours plus grande.

Simple non ?

Vous aurez encore remarqué sur les photos qu’il y a une griffe porte-accessoires avec une griffe dite « froide » (pas de contact central de synchronisation).

Le petit levier, sur le côté de l’objectif, vous permet de choisir entre la synchronisation M, pour les flashs à ampoules, et la synchro X pour les flashs électroniques. Sur le X, le flash sera synchronisé à toutes les vitesses de 1/60s à 1/500s tandis que sur le M il ne le sera qu’au 1/30s.

Les plus attentifs auront remarqué une troisième lettre, la V. En fait c’est le retardateur que vous pourrez engager lorsque vous aurez armé l’appareil. Vous aurez alors 8 secondes pour être sur la photo.

Finalement, que penser de cet appareil ?

Si vous voulez voir des exemples d’images prises avec celui-ci, voyez LA. Et je souris intérieurement car des Lomographes ont bien compris l’intérêt de ce superbe boitier.

S’il n’est pas le plus recherché des Voigtländer, tant mieux pour vous : vous aurez là l’occasion d’une machine superbement construite, solide et parfaitement fonctionnelle. Vous pouvez utiliser ses « automatismes » ou vous en affranchir mais la qualité de son viseur, de son optique, l’onctuosité de sa mécanique feront que vous prendrez plaisir à vous en servir encore et encore.

Vraiment, si vous cherchez un appareil qui sorte de l’ordinaire mais vous en donne pour votre argent – vous en trouverez facilement entre 20 et 40€ – le Vitomatic IIa est l’appareil qu’il vous faut.

Petites videos d’illustration :

Pour le mode d’emploi, c’est par LA.

Un brin de technique :

Voigtländer, appareil photo télémétrique
Année de lancement : 1960
Film : 35 mm avec des vitesses de 12 à 800 ASA
Objectif : Voigtländer Color-Skopar 1:2,8/50 mm ou 1:3,5/50 mm, ou Ultron 1:2/50 mm
Obturateur : Prontor SLK-V (avec M-sync) ou Prontor 500 SLK-V (sans M-sync), avec des vitesses de 1 sec. à 1/500 s. plus B
Appareil de mesure : cellule photoélectrique au sélénium et instrument à aiguille ; le pointeur avec l’anneau est couplé aux commandes de vitesse et d’ouverture ; les valeurs appropriées sont trouvées lorsque l’aiguille du compteur correspond à l’anneau
Avance du film : levier rapide, caché dans le dos de l’appareil photo ; Le bouton de rembobinage doit être relâché avec un petit levier de vitesse étroit sur le côté du corps, sous le bouton.

Des références : https://mikeeckman.com/2017/05/voigtlander-vitomatic-iia-1960/, http://camera-wiki.org/wiki/Vitomatic_IIa, https://casualphotophile.com/2014/08/03/voigtlander-vitomatic-ia-camera-review/, http://camera-wiki.org/wiki/Vitomatic en anglais; https://www.autrefoislaphoto.com/musee/appareils-photographiques/appareils-telemetriques/voigtlander-vitomatic-iia, https://www.collection-appareils.fr/x/html/page_standard.php?id_appareil=11759 en français; https://web.archive.org/web/20170824015229/http://www.udo-afalter.de/voigtlaender/vitomatic/index.php, https://www.kasafo.de/ en allemand

2 commentaires sur “Le Voigtländer Vitomatic IIa

  1. Euh, pour la synchro flash M ou X, ce ne serait pas l’inverse?

    Cordialement,

    • Bonjour Nicolas, aïe, je deviens dyslexique ! Tu as entièrement raison et je viens de faire la correction dans le texte. J’ai aussi jouté le mode d’emploi, on ne sait jamais. Si on ne « s’entend » plus ces derniers jours, mes meilleurs vœux pour Noël. Toutes mes amitiés.

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