Récapitulatif de mes appareils (novembre 2020)

Le récapitulatif que je vous présente ici est celui des appareils que j’utilise vraiment régulièrement.

J’ai encore quelques pépites dans mes armoires, que je sors au fur et à mesure de mes envies d’essais, tests et autres comparaisons, toujours très subjectives, mais c’est plus pour le plaisir de découvrir ces quelques belles machines – et pourtant je ne suis pas collectionneur, je vous assure !

Donc, ceux que je vous présente ici sont mes appareils de « tous les jours ».

En photo de rue :

  • Lumix GX9 + 14 mm f1:2,5 (28mm en 24×36)
  • Leica M5
  • Ricoh R1 (argentique) focale fixe 30 mm f1:3,5

En photo de paysage, urbaine, portrait :

  • Canon Eos 6D
  • Canon 7D
  • Canon Eos 30 (argentique)

Avec ces trois Canon Eos, des objectifs de la marque :

  • EF 17 – 40 mm f1:4 série L,
  • EF 24 – 70 mm f1:2,8 constant série L,
  • EF 70 – 200 mm f1:4 série L,
  • EF 70 – 300 f1:4 -5,6 IS USM
  • EF 28 – 80 f1:3,5 – 5,6 autofocus
  • et un doubleur de focale Kenko (x2)

Pour les autres :

  • Mamya 645 Super (argentique) 4,5×6
  • Kodak Classic Smile (instantané) 89x108mm ZeroInk

Parfois je me dis que ce qui est fatiguant c’est de penser à ces appareils électroniques dont je sais que les jours sont comptés. Parce que les obturateurs ont été prévus pour X milliers de déclenchements et puis … on ne sait pas, sauf à – peut-être – devoir passer par le SAV, pour autant que le coût de la réparation ne dépasse pas la valeur de l’appareil et/ou que les pièces soient encore disponibles.

Avec les anciens appareils argentiques la question se pose sous une autre forme : jusqu’à quand fabriquera t’on encore les pellicules pour les alimenter ? Au rythme ou certaines disparaissent, ça fait peur.

Jamais je pense, depuis l’invention de la photographie, les industriels n’ont aussi bien orchestré l’obsolescence programmée de leurs appareils, obligeant à toujours faire « évoluer » son parc, pas seulement pour rester au goût du jour mais tout simplement pour pouvoir continuer à photographier.

A l’époque de l’argentique, ne nous leurrons pas, la bataille marketing faisait aussi rage et les nouveaux produits sortaient aussi régulièrement, mais pas au rythme d’aujourd’hui (Canon aura attendu 10 ans avant de remplacer son fleuron, le F-1 p. ex.). Et il n’était pas rare qu’un photographe garde son appareil dix, vingt ans sans que ses photos n’en pâtissent. Les réglages étaient toujours liés au triangle de l’exposition, point barre ! Mais il savait s’en servir et comprendre la lumière, plutôt que les 500 pages de réglages des appareils « modernes ».

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