La photographie, ou le plaisir du partage

Si vous avez lu ma page d’accueil, vous savez que le mot partage a beaucoup de sens pour moi.

Et jusqu’à présent, toutes les personnes, armées d’un appareil photo, que j’ai rencontrées ont utilisé ce mot pour décrire leur passion.

Qu’il s’agisse de Philippe (Pix-Visu et Pix-Face) ou de Frédéric (Histoires de photo), de Patrice et Salvatore, de Benoît, Anne, Samuel, Maud, Vincent, Pascal, Cécile, Bernard, Concetta, Catherine, Yannick, Agnès, Georges, Alexia, mes amis photographes, tous ont a cœur de partager leur passion, leurs trucs et astuces, leur vision du monde qu’ils n’ont de cesse de confronter aux regards de l’autre.

Alors si vous découvrez ce medium merveilleux, autrement qu’a travers un smartphone, regardez autour de vous, vous en trouverez aussi des photographes qui aiment leur métier, leur hobby, leur envie de voir le monde autrement.

Les livres sont sources d’inspiration, les musées aussi – bien que pour l’instant ce soit difficile – les expositions – compliqué aussi, pour les mêmes raisons en ce moment – les sites inspirants (regardez les liens des uns et des autres que nous prenons la peine de noter sur nos sites respectifs) et vous trouverez mille raisons de sortir votre boitier.

Que celui-ci soit argentique, numérique, petit ou grand format, « qu’importe le flacon, pourvu qu’on ait l’ivresse ! » mais sortez le …

C’est en photographiant que l’on devient photographe, les écoles ne sont pas tout. Quelques uns des plus grands sont de parfaits autodidactes, curieux et n’ayant pas peur de poser des questions, mais qui ont découvert la photo en sortant photographier.

Quoi ? Mais tout et n’importe quoi. Vous avez envie de faire du paysage, de la rue, de l’Urbex, du portrait, du nu, de l’expérimentation, lancez-vous !

Un vieux bonhomme a dit un jour « Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas. C’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles » (Sénèque). C’est toujours d’actualité.

De plus – et il faut le reconnaître – la technologie aujourd’hui vous simplifie encore la vie : plus de restriction pour déclencher, la photo ne vous coûte rien tant que vous ne décidez pas de l’imprimer ou la faire tirer; vous cherchez des informations, le Grande Toile en regorge, il y a pléthore de tutoriels sur tous les styles et la plupart du temps, gratuitement (c’est aussi ça le partage).

Et lorsque vous aurez envie de compagnie dans votre quête, inscrivez-vous à des ateliers, des groupes de photographes.

« Oui mais là, c’est payant » – Ben oui, il faut parfois aussi penser au temps investi par les personnes qui vous guident, qui ont préparé du matériel didactique, qui ont déjà été repérer les lieux pour que votre sortie soit la plus agréable et profitable possible, …

Ne vous lancez pas forcément dans les pas de personnes (très) connues – un stage avec Joel Meyerowitz, c’est comme un graal mais ça se mérite et ça a un coût conséquent.

Des professionnels ou des passionnés près de chez vous, le font aussi très bien.

Selon l’endroit où nous vivons, pour l’instant en tout cas, nous devrons nous plier aux restrictions en vigueur (seul, petit groupe limité) mais il est encore possible d’effectuer de tel stage.

Pour le Nord de la France (pardon, les Hauts de France), je pense à Frédéric qui peut encore organiser des sorties individuelles ou des cours à domicile. Et si vous êtes en panne d’idée cadeau, en voilà une bonne.

En Belgique, dès que les mesures l’autoriseront, Philippe reprendra ses workshops.

En attendant, photographiez, photographiez, photographiez, il en sortira toujours quelque chose !

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